Jordan Bardella, figure montante du RN, n’a pas été épargné par les critiques acerbes de Marianne James. Elle a décrit le président du parti comme ayant une façade séduisante mais averti que “le diable se cache dans les détails“. Cette déclaration, loin d’apaiser les tensions, pose la question des limites de la libre expression et l’influence des personnalités publiques dans le paysage politique.
Marianne James assume ses propos
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